Le désopilant dictateur turc, dont on taira le nom afin de l'encourager à retourner à un anonymat dont il n'aurait jamais dû sortir, s'emmerde le week-end.
Pour se détendre, il multiplie les hobbies originaux. Cette semaine, c'est "j'emprisonne de valeureux journalistes français".
Ce mec est soit très con soit très mal informé, soit les deux, Olivier est une sorte de Hulk viticole : privé de ses deux ou trois quilles quotidiennes de vin bio, il peut devenir très fort et très violent.
M'étonnerait pas que cette incarcération se termine dans un bain de syrah.
Car enfin, à part un goût immodéré pour les accidents capillaires comme le prouve cette photo, on ne peut rien reprocher à Olivier Bertrand qui aux intégrismes de tous poils (sic !) opposera toujours une intégrité sans faille et sans peigne.
Blague à part, tiens bon pisse copie, on boit un coup à ta santé.
La bise.
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