Hier, 3 000 000 (au moins) de français (de souche), catholiques, homophobes et probablement anaphabêtes se sont rassemblés au Trocadéro.
Un vieil homme, la peau tannée par le soleil de la Sarthe, a expliqué que ce n'était pas quelques centaines de milliers d'euros d'argent public dérobés qui allaient l'empêcher de se prendre une méga-branlée à a présidentielle.
Quelques jours plus tôt, un jeune banquier d'affaires expliquait que ce n'est pas parce que son hologramme couche avec le PDG d'un media de service public, qu'il allait arrêter de faire semblant de niquer mamie.
Les jours précédents, une fausse blonde bouffie à la nymphomanie honteuse, hurlait, la bave aux lèvres, que ce n'étaient pas quelques juges gauchistes, démontrant ainsi son sens du pléonasme,qui pourraient éviter l'épidémie de fièvre brune annoncée.
Pendant ce temps, le monde entier se fout gaillardement de notre gueule. Même les italiens ont le sentiment que cette bande de bras cassés peut faire oublier leur guignolo octogénaire.
J'ai beau m'en foutre comme du classement de la ligue 1, je n'arrive pas à dissiper comme un tout petit sentiment de honte.
J'aime quand tu as la rage comme ça.
RépondreSupprimerC'est vraiment toi. Ne change surtout pas